La pandémie du coronavirus a atteint tous les secteurs d’activités et constitue un véritable casse-tête pour les habitants de la planète. Le secteur éducatif n’est pas épargné, et il est impérieux de prendre toutes les dispositions sécuritaires pour mettre les apprenants à l’abri du mal. Malheureusement, pour la rentrée scolaire qui pointe à l’horizon, le gouvernement français dit un « non ! » catégorique à la gratuité des masques. Pourquoi une telle décision ?
Covid-19 et rentrée scolaire : le port de masque obligatoire
L’une des mesures barrières pour éviter la propagation du coronavirus est le port systématique du masque. Cette mesure est une obligation pour tous les écoliers français qui débuteront la rentrée le 1er septembre prochain. Malgré la doléance des parents d’élèves pour une prorogation en raison du nombre croissant de cas enregistrés, le gouvernement reste focus sur cette date.
D’ailleurs, le Ministre de l’éducation nationale a confirmé l’effectivité de cette reprise le vendredi 21 août. Ainsi, plusieurs organismes politiques voudraient bien que les masques de protections soient donnés gratuitement par l’état. Malheureusement, le vœu de ces responsables politiques reste sans issue favorable. La consultation de ce site vous apporte plus d’éléments d’informations.
Pourquoi le « non » du gouvernement suite à la gratuité des masques ?
« L’école étant obligatoire et gratuite, le masque lui ne le sera pas ». Voici l’une des phrases du Président Emmanuel Macron, le 21 juillet passé sur TF1. Nous comprenons donc la position du pouvoir public face à ce problème social.
En effet, le gouvernement français dans sa dynamique d’aider les parents d’élèves, à annoncer il y a peu, une hausse de 100 euros sur l’allocation de rentrée. Cela constitue un effort très louable et il serait presque impossible pour l’état de se lancer à nouveau, dans le partage gratuit de masques.
D’ailleurs, selon le Premier ministre, cette pandémie reste l’affaire de tous, et chacun doit y contribuer. Toutefois, cette mesure sociale de la gratuité de maques pourrait bien s’appliquer aux familles végétant dans l’extrême pauvreté.